Kazakhstan : Péril dans la Steppe | Les Routes de l'impossible
00:00 Cette nouvelle Route de l’Impossible, nous emmène au Kazakhstan. Dans ce pays d’Asie centrale, situé aux confins de la Chine et de la Russie, et grand comme fois la France, tout est rude : le climat, la monotonie de la steppe piquée de puits de pétrole, et jusqu’aux caractères de ses habitants, descendants des Mongols de Gengis Khan, et taillés pour affronter tous les défis de la nature.
03:43 Le Kazakhstan est soumis à un climat très difficile
05:00 Cette tempête dans la steppe a créé un embouteillage bloquant tous les voyageurs sur place
10:50 Les fermiers Kazakhs sont connus pour l’élevage de chameaux
22:33 La tempête de neige bloquant les steppes a également paralysé la ville de Jennings
30:45 Pendant ce temps les villes du sud célèbrent l’arrivée du printemps
32:23 La mer d’Aral, totalement asséchée par la surexploitation, a laissé place aujourd’hui à un désert de sable
38:28 À la fin de la tempête, certains se retrouvent coincés dans la boue laissée par la neige
43:30 Très peu de taxis voyagent dans le désert kazakh
46:28 17e producteur mondial de pétrole, le territoire est devenu très pollué
Tourné au sortir de l’hiver, ce film nous entraine en pleine tempête de neige, avec des milliers de voyageurs bloqués dans un embouteillage monstre, et dont les plus malchanceux finissent plantés dans la boue, surpris par un soudain dégel. Nous allons aussi à la rencontre de ces fermiers, éleveurs de chameaux, qui s’accrochent à une terre ingrate. Ou encore, au bord de ce qu’était autrefois la mer d’Aral, totalement asséchée par la surexploitation des eaux du fleuve qui l’alimentait, durant la période soviétique. Elle a laissé place aujourd’hui à un désert de sable et de sel dont les habitants respirent la poussière toxique. Un voyage de l’extrême, en compagnie de personnages attachants, dont les galères n’entament jamais le courage et la dignité. Une nouvelle fois, les Route de l’Impossible nous montrent sans fard et sans pathos, comment les hommes vivent, à l’autre bout du monde